Les participants


 

Anita

Anne-Marie

Christian

Daniel

Gisèle

Hubert

Jacques

Jean

Jean-Claude

Marie-Jo

Martine

Robert

Sébastien

Yvonka


 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Randonnées

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Compte rendu de la sortie du 18/09/2014

Inédit à Bouconne

 

 

 

Balade en sous-bois

Ah ! La bonne idée qu'il a eu, le GO ! La semaine dernière il nous avait fait cuire au soleil, alors cette semaine, il a eu pitié de nous. Il nous avait organisé une balade plus qu'une rando et en plus en sous-bois pour protéger nos têtes fragiles des ardeurs du soleil. Mais dit-donc Daniel, tu te mets à parler de toi à la 3ème personne ! OK, OK, revenons à notre rando, bien sûr la forêt de Bouconne c'est un grand classique, même en empruntant quelques variantes, on retrouve obligatoirement à un moment quelconque la grande allée, la stèle érigée à la mémoire de François Verdier dit Forrain et la croix de Saint Dominique (1) car il s'agit bien de Saint Dominique et pas d'une sainte portant le même nom comme en atteste l'extrait du site "http://dominicains.com/les-freres/s-dominique/60-la-legende-toulousaine-de-saint-dominique". Après ce grand moment de culture religieuse, je me retire sur la pointe de mes chaussures de rando, et vous dis "A la semaine prochaine, pour de nouvelles aventures". 

Daniel

 (1) Le contenu de la légende avec ses deux pôles géographiques : la forêt de Bouconne, la cathédrale Saint-Étienne.
Que dit la légende ? À la suite de la victoire des croisés à Muret, la ville de Toulouse rouvre ses portes aux catholiques en 1214. Dominique s’en vient prêcher aux Toulousains, mais sans vaincre leur hostilité et sans obtenir le moindre succès. Découragé, il se retire au plus épais d’une forêt proche de la ville. Là, durant trois jours, il se livre à la prière et à la pénitence, en se flagellant jusqu’au sang. La Vierge lui apparaît pour le secourir, elle est accompagnée de trois princesses (qui représentent la puissance du Père, la sagesse du Fils, la clémence de l’Esprit) et de cent cinquante autres demoiselles, elles-mêmes divisées en trois compagnies de cinquante chacune, soit autant que le rosaire compte de grains, de divisions et de subdivisions. La Vierge guérit Dominique de ses meurtrissures, elle le réconforte et l’allaite, puis lui apprend que par le Rosaire il viendra à bout de l’obstination des Toulousains. Dominique retourne alors à Toulouse. Lorsqu’il entre en ville, les cloches de l’église principale s’ébranlent, actionnées par les anges. Le peuple accourt pour entendre le prédicateur. Un orage d’une violence terrifiante qui éclate à ce moment-là jette les auditeurs dans l’épouvante et les incite au repentir. Ils se rendent à l’orateur, embrassent la dévotion du Rosaire, s’enrôlent dans la confrérie et convertissent leur manière de vivre.

 

 

 

Dernière mise à jour:22/09/2014